Depuis quelques années, l’accompagnement en développement personnel et le coaching s’invitent partout sans distinction de sexe, de milieu ni de catégorie socio-professionnelle. Est-ce-que l’humain serait devenu “inapte à vivre?”
A bien y réfléchir, je ne crois pas que ce soit une question d’aptitude mais plutôt une preuve que tous autant que nous sommes cherchons à nous adapter au mieux à un monde devenu fou!
Le monde change, bouge, évolue comme il l’a toujours fait mais vitesse grand V. L'avènement d’internet a plongé les humains dans un tourbillon dans lequel l’hyper-adaptabilité est devenue indispensable.
Comme la plupart des femmes de la communauté Muse, j'ai grandi dans les années 80/90, avec des parents dévoués à leur travail, souvent fidèles à une entreprise toute leur vie, qui avaient pour objectif de devenir propriétaires, de s’offrir des vacances et de s’assurer une belle retraite. Dans ce monde là, la société de consommation explosait, la réussite se mesurait à la quantité de biens matériels amassés, le plastique était “fantastique”, l'état de la planète jamais un sujet. La société dans laquelle nous avons grandi et dont nous tirons nos schémas de fonctionnement et nos modèles, n’est plus la même, j’irai même jusqu’à dire qu’elle n’existe plus! Dans ce contexte, il est normal de tenter de définir des outils plus adaptés à nos besoins actuels.
Personnellement, ça fait longtemps que je sens ce décalage entre ce que j’ai appris et la façon dont le monde d'aujourd'hui fonctionne, longtemps que j’ai compris que la plupart d’entre nous occupent une place qu’on leur a assignée et non une place choisie. J’ai mis du temps à m’autoriser à écouter mes convictions et il y dix ans, j’ai sauté le pas et suis devenue coach pour accompagner les autres dans leur recherche, quelle qu’elle soit.
Par un système de questionnement ciblé, une écoute professionnelle et une ouverture constante au mouvement du monde, j'amène ma coachée à trouver ses propres réponses, celle adaptée à sa situation singulière seulement. C’est ça la puissance du coaching!
Si tout ça vous intrigue, voilà un petit conseil: levez le nez du guidon et demandez vous: est-ce que mon métier me correspond? Est-il aligné avec mes convictions politiques, environnementales? Ma place au sein de mon schéma familial me nourrit-elle? Ma situation au centre d’une grande ville est-elle ce qui me correspond le mieux?
En résumé, comme quand vous êtes au volant, ralentissez et demandez-vous “suis-je sur la (ma) bonne route?”
On vous le souhaite, et si vous avez envie d'être accompagné pour ces questionnements, réservez un appel découverte avec moi et parlons-en!
Laure,
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